Nous pouvons protéger notre avenir en offrant aux enfants un avenir meilleur et plus brillant
Quels sont les droits d’un enfant ?
- La liste complète des droits des enfants et des jeunes de moins de 18 an
La liste complète des droits des enfants et des jeunes de moins de 18 ans figure dans la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant, la norme la plus
la norme la plus reconnue au monde en matière de droits de l’enfant.
Les droits de l’enfant comprennent le droit à la santé, à l’éducation, à la vie familiale, au jeu et aux loisirs, à un niveau de vie adéquat et à la protection contre les abus.
Un niveau de vie adéquat et d’être protégé contre les abus et les préjudices. Les droits des enfants couvrent leurs besoins en matière de développement
Les droits de l’enfant couvrent leurs besoins en matière de développement et d’adaptation à l’âge, qui évoluent au fur et à mesure que l’enfant grandit.
Quatre principes généraux sous-tendent tous les droits de l’enfant :
La non-discrimination signifie que tous les enfants ont le même droit de développer leur potentiel dans toutes les situations et à tout moment.
Par exemple, chaque enfant devrait avoir un accès égal à l’éducation, indépendamment de son sexe, sa race, son ethnie, sa nationalité, sa religion, son handicap, sa filiation, son orientation sexuelle ou tout autre statut.
L’intérêt supérieur de l’enfant doit être “une considération primordiale” dans toutes les actions et décisions concernant l’enfant, et doit être utilisé pour résoudre les conflits entre les parents et les enfants.
pour résoudre les conflits entre différents droits. Par exemple, lors de la prise de décisions budgétaires nationales.
concernant les enfants, le gouvernement doit tenir compte de l’impact des coupes sur l’intérêt supérieur de l’enfant.
l’intérêt supérieur de l’enfant
Le droit à la survie et au développement souligne l’importance vitale de garantir l’accès aux services de base et à l’égalité des chances pour les enfants.
puissent se développer pleinement. Par exemple, un enfant handicapé doit avoir un accès effectif à l’éducation et aux soins de santé pour réaliser pleinement son potentiel.
L’opinion de l’enfant signifie que la voix de l’enfant doit être entendue et respectée dans tous les domaines concernant ses droits.
Par exemple, les personnes qui détiennent le pouvoir doivent consulter les enfants avant
Le mariage des enfants
Le mariage des enfants en Iran n’est pas une question culturelle. Il est devenu une catastrophe sociale en raison des politiques du régime des mollahs. Le régime iranien a refusé d’interdire ou de criminaliser les mariages précoces.
En Iran, les jeunes filles peuvent se marier légalement à l’âge de treize ans. Toutefois, les juges et les parents peuvent passer outre et autoriser les filles à se marier dès l’âge de neuf ans. Le Centre national des statistiques d’Iran a annoncé que 9 753 jeunes filles âgées de 10 à 14 ans ont été mariées au printemps 2021.
Au cours de la même période, 45 522 filles âgées de 15 à 19 ans ont également été mariées.
Les jeunes filles âgées de 10 à 14 ans ont donné naissance à 969 enfants, et les jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans ont donné naissance à 44 896 enfants.
Les mariages de plus de 9 000 jeunes filles âgées de 10 à 14 ans au printemps 2021 montrent une augmentation de 32% par rapport à la même période l’année dernière.
Le fait de se marier jeune peut souvent comporter des risques psychologiques extrêmes. Une étude menée et publiée dans le Journal of Pediatrics a révélé que les personnes qui se marient avant l’âge de dix-huit ans sont plus susceptibles de souffrir de dépression, d’anxiété et de troubles bipolaires. Le risque de troubles mentaux augmente de 41 % lorsque l’on se marie avant l’âge de 18 ans.
L’Iran a des lois qui tolèrent le mariage des enfants dès l’âge de treize ans et qui rendent plus difficile pour les femmes de divorcer de leur mari. Cette combinaison de lois oblige les femmes à se sentir inférieures aux hommes et à perdre le contrôle de leur vie personnelle ; cependant, ces lois sont toujours en vigueur parce que le régime réprime la société par ce biais.
La crise du travail des enfants en Iran
Selon les médias d’État, l’Iran compte 23 millions d’enfants sur 83 millions d’habitants. Les autorités iraniennes n’ont jamais révélé le nombre réel d’enfants qui travaillent.
Selon des rapports non officiels, il y aurait plus de 7 millions d’enfants travailleurs en Iran.
Hassan Mousavi Chalak, chef des travailleurs sociaux iraniens, a déclaré qu’avec de plus en plus de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en Iran et le manque de budget pour soutenir les familles, nous verrons de plus en plus d’enfants travailler dans les rues.
“Les enfants en Iran sont victimes des politiques destructrices du régime. De nombreuses familles ne peuvent pas envoyer leurs enfants à l’école, tout simplement parce qu’elles ne peuvent pas payer les fournitures nécessaires. Des millions d’enfants sont contraints de travailler dans la rue pour contribuer au revenu familial.
De nombreuses institutions publiques iraniennes ont recours au travail des enfants, et des entrepreneurs embauchent régulièrement des enfants de cinq ans à peine pour des tâches telles que la gestion des déchets.
Le revenu moyen des enfants des rues en Iran est de 23 000 tomans (environ 1 dollar) par jour, selon une étude récente d’une organisation d’État. Selon une étude de l’Organisation nationale de protection sociale, la plupart de ces enfants effectuent des travaux routiniers, notamment la vente ambulante (73,2%), le portage (6,8%) et la musique (6,4%) ou des travaux semi-routiniers comme la recherche de déchets, la collecte de déchets de pain (9,6%) et la mendicité (5,7%). Un très petit nombre d’enfants (2%) sont également engagés dans le commerce de la drogue et le vol à la tire. Les enfants des rues vivent dans des conditions désastreuses et trouvent souvent refuge dans des bâtiments abandonnés, des conteneurs, des automobiles, des parcs, ou même dans la rue.
Ils nous demandent de l’aide
Les enfants des rues vivent quotidiennement une série de traumatismes sociaux et psychologiques dans la rue. Les données quantitatives basées sur l’étude montrent que 40,2% des enfants ont mentionné une intolérance à la chaleur et au froid.
Les données quantitatives basées sur l’étude montrent que 40,2% des enfants ont mentionné l’intolérance à la chaleur et au froid, 34,9% ont mentionné des biens confisqués, 33,2% ont déclaré avoir été impliqués dans un accident de voiture et 26,7% ont mentionné d’autres incidents nuisibles.
Les atrocités que subissent ces enfants sont manifestement le fait du régime iranien et sont en contradiction directe avec la “Convention des droits de l’enfant”, qui stipule que les enfants doivent être pris en charge par l’État si leur propre famille ne peut pas subvenir à leurs besoins.
Cependant, aucune mesure de ce type n’est prise par les mollahs pour améliorer la vie de ces enfants, alors qu’ils sont occupés à fabriquer des armes nucléaires et à exporter le terrorisme et le fondamentalisme.